j'ai un bon jeu de fer, rassurant, régulier en distance, en contact, et je me permets même quelques trajectoires en draw pour le fun qui ne me posent pas de soucis

Je me suis mis au driver, et je n'avais pas plus de problème que ça, je transposais mon swing de fer vers mon driver, et même si je n'envoyais pas la balle à une distance de martien, au moins ça partait droit et sans "déchet".
Mais voilà, on a fini par me faire comprendre que jouer un driver c'était "super balèze", et je me suis mis à psychotter en essayant de mettre en place tous les points clefs d'un bon swing au driver.
Résultat, à force de me forcer "contre-nature", me voilà plus court, avec une tendance au slice que je n'avais pas, et me voilà en plein doute à chaque fois qu'il faut sortir la babatte ....
Quand les éléments se synchronisent, j'arrive miraculeusement à envoyer une balle à 230m en fade, le reste du temps, c'est saucisse sur saucisse

Alors évidement, je passe ma vie à "tenter des trucs" pour sortir de cette spirale, car figurez vous que je n'arrive plus à swinguer mon driver comme je le fais avec mes fers, c'est généralement moche, forcé, et inefficace. J'en arrive même à avoir mal au coude gauche, douleurs aux avant-bars, bref, tout en contrainte, rien de bon.
La question :dans le principe, même si le plan se doit d'être plus plat, le swing driver est-il si différent du swing de fer ? J'ai le sentiment d'un backswing lent et contrôlé, mais c'est comme si une faille spatio-temporelle survenait au downswing, je me vois monter, puis .... plus rien et la balle part aux fraises .... c'est que je voulais l'envoyer loin celle là
